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Voies moléculaires de formation d’acides aminés à partir du milieu interstellaire jusqu’aux astéroïdes et aux noyaux des comètes
exobiologie.fr

Dimanche 31 mai 2020 :

J’ai écrit une centaine de fois en explorant bien des sujets. Certains me tiennent plus à coeur que d’autres. Les thèmes concernant l’exploration spatiale ou sous-marine sont les sujets phares, ceux que je préfère , et pas loin derrière ces thèmes les bases secrètes et leurs activités présumées,  attisent ma curiosité . Ceci n’est pas un secret pour les gens que je côtoie c’est à dire ma  famille et ma compagne Era qui sont les mieux placées pour savoir que j’ai une passion pour le voyage, les pays d’Asie, plus particulièrement le Japon, la Chine et le Vietnam ( l’Asie du Sud -est ), le tao et les arts martiaux d’Orient, mais ces sujets n’ont pas leur place ici ou très peu de place.

Alors parmi mes centres d’intérêt, la science et plus particulièrement l’exobiologie. Cette filière pluridisciplinaire des sciences s’engouffre dans la recherche, l’analyse,l’étude du vivant sur terre comme ailleurs. Ceci amène les savants, surtout les biologistes et les  chimistes en particulier à tester diverses souches, divers organismes, divers éléments et  divers environnements.

Aujourd’hui je reviens grâce à un article que je vous propose après mon introduction ici.

Nous avons eu l’expérience assez amère d’une saloperie ( moi j’appelle un chat ,un chat) dont le nom attribué est COVID 19, ce micro organisme venu de nulle part  aurait -il été le fruit d’une mutation naturelle, d’une expérimentation ou pire encore d’une fabrication humaine à partir d’un agent pathogène, ou bien d’un microbe venu  de l’espace et qui aurait fusionné  ? Pour moi les possibilités ne manquent pas, seulement une seule est rationnelle ! Ce qui me conduit à revenir sur le risque de contamination due à l’exploration du cosmos et de ce qui le compose, étoiles, lunes, planètes, exoplanètes, nébuleuses, etc.

J’avais déjà écrit sur le risque possible qu’une expédition spatiale ramène  sur terre malgré elle, un prédateur pouvant être de nature microscopique . Les auteurs de  science fiction ont abordé le sujet à travers des romans ou le cinéma et les séries TV.

Pour le média Terra New Reporter j’expose  brièvement ceci dans cet article ( Science & Science fiction au service de l’ufologie) .

Alors l’article ci-dessous  me renvoie l’ ascenseur en quelque sorte, en évoquant les pré occupations qui me paraissent justifiées  de Scott Hubbard un expert en astronautique.

Cet article mentionne la planète Mars car elle s’inscrit comme objectif prioritaire des américains et que le richissime Elon Musk compte bien y faire son blé ! Ceci me rappelle soit dit au passage l’industriel pourri qui exploite et détériore tout un écosystème et une civilisation en ayant aucun scrupule et en étant sans foi ni loi dans le  film AVATAR( de J .Cameron ), sur la planète Pandora qui est imaginaire puisque Pandora (Pandore) –  est  en réalité un satellite de la planète Saturne , découvert en octobre 1980 par S. A. Collins, D. Carlson, Voyager 1 et qui  orbite à une distance moyenne de 141 720 km ce qui fait de lui le 6satellite en terme de distance à Saturne (du plus proche au plus éloigné). Ce corps céleste  ne peut abriter la vie telle qu’imaginée par James Cameron( fin de la parenthèse ! ). Gageons que monsieur Musk ne soit pas aussi stupide !

Les garde fous sont nécessaires autant qu’obligatoires comme pour l’intelligence artificielle  et les manipulations génétiques et biologiques afin d’éviter une amère et regrettable catastrophe planétaire voir interplanétaire !

Je vous laisse à présent avec cet article de sciencepost.fr ci-dessous.

Un rapport évoque Mars et les risques de contamination extraterrestre !

Un expert en astronautique a récemment co-écrit un rapport traitant de la protection de la Terre. L’intéressé y explique notamment comment le futur de l’exploration et de l’utilisation de l’Espace pourrait engendrer des préoccupations en ce qui concerne d’éventuelles contaminations biologiques extraterrestres.

Un rapport destiné à la NASA

Scott Hubbard est professeur adjoint au département d’aéronautique et d’astronautique de l’Université de Stanford (États-Unis) et ancien directeur du NASA’s Ames Research Center. Il est également co-auteur d’un rapport publié par The National Academies of Sciences, Engineering and Medicine et a été interrogé sur le sujet dans un communiqué publié le 7 mai 2020.

Dans ce rapport, il est question du futur de l’exploration et de l’utilisation de l’Espace, avec notamment de nombreux projets dont ceux de SpaceX. Scott Hubbard évoque également de potentiels risques de contamination biologique sur et en provenance de Mars. Rappelons au passage que la NASA s’est donné pour mission de ramener sur Terre des échantillons de la planète rouge. Le document livre aussi des recommandations destinées à l’agence spatiale américaine afin de garder un contrôle sur les activités du secteur privé dans l’Espace.

Superviser le secteur privé

Depuis quelques années, le secteur privé s’intéresse grandement à l’Espace, SpaceX en tête avec le lancement de nombreux satellites. Pour rappel, la société d’Elon Musk projette d’envoyer des humains sur la planète Mars d’ici 2024. Dans son rapport, Scott Hubbard estime que ces projets devraient pousser les responsables à renforcer les procédures de protection. Il s’agit d’éviter des catastrophes sanitaires en réduisant les risques liés à de potentielles contaminations extraterrestres.

L’expert préconise que la NASA et les autres acteurs doivent coopérer sur le sujet et rappelle que le Traité de l’espace de 1967 s’applique aussi bien aux gouvernements qu’au secteur privé. Pour Scott Hubbard, le gouvernement américain devrait nommer un nouvel organisme. L’objectif est de superviser toutes les activités du secteur privé hors de la Terre.

persévérance
Crédits : NASA

Les préoccupations autour de Mars

L’auteur du rapport demande également à la NASA de définir après recherche une “zone d’exploration” sur Mars sur laquelle les astronautes pourront atterrir. En réalité, il est surtout question de définir un lieu où le risque de contamination n’engendrera aucune conséquence importante. En effet, le risque zéro concernant d’éventuelles fuites des combinaisons des astronautes n’existe pas. Autrement dit, des bactéries terriennes pourraient contaminer la surface de Mars.

Scott Hubbard est aussi très préoccupé par la mission Mars Sample Return qui, comme son nom l’indique, concerne le retour d’échantillons martiens sur Terre. L’expert évoque les actions déjà entreprises par la NASA, comme la stérilisation du matériel destiné à la collecte.

Quant au retour des échantillons, l’agence spatiale a pensé à un confinement à trois ou quatre niveaux. Ceci éviterait ainsi au maximum un éventuel contact entre les échantillons et l’engin ramenant ces derniers sur Terre. Il faut savoir qu’il y a très peu de chances que des roches martiennes contiennent des formes de vie actives. Toutefois, les scientifiques qui les manipuleront sur Terre prendront d’importantes mesures, au cas où.

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